Lors des visites accompagnées, il faut cesser de parler de "témoignages des Gueules Cassées".
Cette dénomination, officielle, concerne les seuls blessés du crâne et de la face, la plupart, pensionnés, pas les soldats devenus fous, internés dans les asiles, dit "mutilés du cerveau ", dont les blessures psychiques n'ont pas donné lieu à reconnaissance.
Leur principal oubli est celui de la Nation.
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