Lors des visites accompagnées, il faut cesser de parler de "témoignages des Gueules Cassées".
Cette dénomination, officielle, concerne les seuls blessés du crâne et de la face, la plupart, pensionnés, pas les soldats devenus fous, internés dans les asiles, dit "mutilés du cerveau ", dont les blessures psychiques n'ont pas donné lieu à reconnaissance.
Leur principal oubli est celui de la Nation.
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Un lieu touchant et très bien entretenu, où reposent les jeunes résistants (certains avaient 17 ans) du maquis de Sologne. Voir la très intéressante émission d'Arte sur le maquis de By et la fin tragique de ces jeunes résistants.
Cela peut être étrange de visiter un cimetière, mais celui-ci a une atmosphère différente des autres. Plusieurs petites ruelles à arpenter. Nous l’avons visité fin de journée vers 17/18H, il n’y avait presque personne.
Le lieu donne une belle vue et le cimetière en lui-même est sympathique, mais il faut le mérité ! (beaucoup de marche ou beaucoup d'embouteillages pour au final apprendre peu sur l'historique de l'endroit)
Un endroit émouvant sur lequel on se recueille, haut lieu de la Résistance française qui fut l'un des maquis les plus importants de la zone libre. Mais au mois de juillet 1944, les bombardements allemands détruisirent Vassieux-en-Vercors, entraînant la dispersion et la mort inévitable des maquisards.
Pour retracer cette histoire, à la fois héroïque et tragique, la Nécropole de la Résistance de Vassieux-en-Vercors située à l'entrée du village, rend hommage à ces hommes de l'ombre. Elle rassemble 187 tombes, celles de maquisards et de civils tués durant l'été 1944 ...